Quando in Italia un tema è scomodo non lo si affronta. Cito un argomento che appare e scompare: la storia della diffusione incontrollata del lupo, esempio di questi tempi in cui non decidere sembra una scelta.
Il lupo, cattivo per antonomasia per millenni nel rapporto con l’umanità, è ormai un essere angelicato. Tanto che quando dici in senso benaugurale “In bocca al lupo”, se rispondi con il vecchio motto “Crepi il lupo!” e non il ridicolo “Viva il lupo!” sei una specie di mostro.
Anche a me piace il lupo e non discuto sul suo ritorno sulle Alpi. Segnalo che questi carnivori non ha in Natura qualcuno che ne limiti l’infinita riproduzione e questo pesa sulle sue prede, che cerca fra i selvatici e fra gli animali di allevamento e anche di compagnia. E sono balle che “non esiste problema perché quando sono troppi in una zona, i lupi se ne vanno altrove”. Cosa vuol dire? Esistono territori infiniti o questa illusione sta per finire con lupi che entreranno nelle città e allora i cittadini si inizieranno a preoccupare come fanno da anni i montanari?
Quando dico di una possibile pericolosità anche per gli esseri umani - testimoniata nella storia del rapporto fra uomo e lupo - vengo investito da dotte spiegazioni sul fatto che sono balle. Dico con dispiacere: vedremo, perché quando i lupi diventano confidenti e non hanno più paura i rischi ci sono e l’immagine buonista si infrangerà nella cruda realtà.
Nessuno predica stragi, ma una regolazione della specie su base scientifica, a condizione che gli esperti non siano di parte come chi, con fondi comunitari, sul lupo e la sua diffusione senza prelievi ci campa da anni e spiega che il lupo non Valle d’Aosta sfiorata neppure con un dito. Le autorità italiane nicchiano per paura di dispiacere a qualcuno, ma in Europa qualcosa si muove.
Scrive Cyril Hofstein su Le Figaro Magazine con qualche dubbio: “Et si le temps de la raison était arrivé ? Il est permis d'en douter. Car dès que le mot « loup» est prononcé en France, c'est chaque fois la même rengaine : associations de protection animale, écologistes des villes, activistes de tout poil et éleveurs exaspérés font de la surenchère. Au point qu'il est presque impossible de prendre un peu de hauteur et de s'interroger, sans se draper dans des postures, sur l'urgence de trouver un juste équilibre entre le monde sauvage et celui des hommes”.
Già ci sono militanti animalisti in servizio permanente e appare evidente che senza regole chiare anche in Italia, il famoso e mai nato “Piano lupo”, la giustizia amministrativa stoppa senza pietà.
Ancora il giornalista: “Fin septembre, les Etats membres de l'Union européenne ont donné leur feu vert pour abaisser le statut de préservation du loup, passant d'une « protection stricte » à une « protection simple ». Cette évolution, qui doit encore être approuvée en décembre lors d'une réunion de la convention de Berne relative à la conservation de la vie sauvage préalable à toute éventuelle modification de la législation européenne, permettrait de « réguler » (c'est-à-dire éliminer) plus facilement les loups quand ils sont jugés trop nombreux dans certaines régions. A Bruxelles, cette proposition de bon sens a recueilli pour une fois la majorité grâce au soutien d'une quinzaine d'États, dont la France et l'Allemagne. Et même la ministre allemande de l'Environnement Steffi Lemke, membre du partiles Verts, a surmonté ses réserves habituelles en déclarant que « la population de loups s'est tellement développée ces dernières années que cette décision » est « nécessaire pour les éleveur ».m ". Quando si governa,si capiscono le cose, mentre in Italia per i soliti noti è mobilitazione generale il solito invito al dialogo per procrastinare le scelte. Ancora Le Figaro: ”Sauf que le fameux dialogue prôné par les écologistes se heurte à chaque fois à la réalité, brute, triviale et sans fard, du terrain. Comme en Haute-saone ou, dans une lettre adressée à 1 500 éleveurs le 23 septembre, le président de la chambre d'agriculture du département, Thierry Chal-min, particulièrement remonté suite à de nouvelles attaques de troupeaux, a enjoint les agriculteurs à « sortir armés » et à « taper un loup » s'ils en voient un. « C'est très malheureux d en arriver là, mais ça suffit, reconnaît-il. Je considère que l'Etat n'applique pas à l'élevage le principe général de protection de l intégrité des personnes et qu'il y a carence de l'Etat et de la République. J'enjoins donc les éleveurs à protéger eux-mêmes leurs biens. » Immédiatement condamné par Agnès Pannier-Runacher, la ministre de la Transition écologique, et les autorités préfectorales qui précisent que « tuer ou tenter de tuer une espèce protégée, dont fait partie le loup en France, est punissable jusqu'à trois ans de prison et 150 000 euros d'amende », cet appel traduit pourtant le profond malaise du monde rural face à l'arrivée des meutes dans ce que l'on appelle aujourd'hui pudiquement les « territoires » ”.
Già anche in Valle d’Aosta regna qualche ambiguità sul numero dei lupi fra dati ufficiali e impressioni diverse di chi vive sul territorio.
Come in Francia: « D'autant plus que personne ne s'accorde vraiment sur le nombre réel de loups. Si l'on en croit l'Office français de la biodiversité (OFB), leur population a été estimée à 1 003 individus fin 2023. Mais d'autres chiffres, non officiels, parlent plutôt de 2 000 à 2 500 loups dans l'Hexagone. Seule certitude en revanche : leur nombre a plus que doublé depuis 2018 et l'Etat considère désormais que « le seuil de viabilité démographique du loup est atteint ». Un constat qui a conduit le gouvernement à mettre en place en février 2024, le nouveau plan national d'actions (PNA) 2024-2029 pour le loup. Ce plan prévoit, entre autres, d'augmenter les indemnisations pour les éleveurs avec en parallèle une simplification des tirs et un quota d'abattage resté inchangé, à 19% de la population recensée chaque année. Pas assez pour le monde agricole. Trop pour les écologistes. Sans surprise...”.
Intanto i lupi si propagano.